puis, Apelle, à qui Paul donne le titre d’« honnête homme en Christ[1] » ; puis, Rufus, « homme distingué dans le Seigneur », lequel avait une mère âgée, que l’apôtre, par respect, appelait « Ma mère[2] ». Outre Marie, d’autres femmes, vraies sœurs de la charité, s’étaient vouées au service des fidèles. C’étaient Tryphène et Tryphose[3], « bonnes ouvrières dans l’œuvre du Seigneur », puis Persis, particulièrement chérie de Paul, et qui avait vaillamment travaillé avec lui[4]. Il y avait encore Ampliatus ou Amplias[5], le juif Hérodion[6], Stachys, aimés de Paul ; une Église ou conventicule composé d’Asyncrite, Phlégon, Hermès, Patrobas, Hermas et de plusieurs[7] ; une autre Église ou petite société composée de Philologue et Julie, de Nérée et « sa sœur » (c’est-à-dire probablement sa femme[8]), d’Olympas et de plusieurs autres[9]. Deux grandes mai-