Page:Renan - Lettres du séminaire, 1838-1846.djvu/133

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été pour moi un bonheur. Je vais maintenant donner le côté de l’adresse à mes deux chers amis Liart et Guyomard. Adieu donc, excellente mère, adieu, la plus chérie des mères ; car je ne crois pas exagérer en parlant ainsi du respect et de l’amour que vous porte votre

ERNEST