Page:Renan - Lettres du séminaire, 1838-1846.djvu/157

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que ce soit bientôt. O ma bonne mère, je vous embrasse de toute mon âme, de toutes mes forces, de tout mon cœur je vous aime et vous aimerai toujours ; adieu, adieu, votre fils respectueux et tout dévoué pour jamais.

ERNEST RENAN