Page:Restif de la Bretonne - Mes inscripcions, éd. Cottin, 1889.djvu/203

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après le premier angle, du côté du Pont-rouge, quai de Bourbon. Chaque jour est daté par la nouvelle composée ce jour-là. Je lis sur la pierre, vis-à-vis l’hôtel Lambert, à la suite des Contemporaines du commun, oblitérées par le temps : Procureuse. C’est la 226me Contemporaine.
195. 2 jan. Les Avocates, 225me Contemporaine.
196. 3 jan. Vigneronne, la I94me Contemporaine.
197. 4 jan., la même.
198. 5 jan. La Notaire, 224.
199. 6 jan., épreuves.
200. 7 jan. La Commissaire, 223.
201. 8 jan., la même nouvelle.
202. 9 jan., épreuves.
203. 10 jan. La Greffière, 222.
203. (sic) 11 jan., la même.
204. 12 jan. La Financière.
205. 13 jan., la même.
206. 14 jan. La Banquière. Vidi Saram. (J’ai vu Sara.) Lego Rusticanam. (Je lis ma Paysane.)
207. 15 jan. eamden (la même nouvelle), et les 16, 17, 18.
208. 19 jan. Femmes-lettres : Cette date est en sortant du Pont-rouge, à droite, à la 3me pierre après le premier angle.
209. 20 jan. Corrigo marchionem de T*** (Je corrige le marquis de T***) : c’est-à-dire, j’adapte des historiettes de cet ouvrage[1], pour en faire des Contemporaines.


    Béthune et le quai d’Anjou. L’inscription de Restif devait se trouver devant l’une des maisons qui portent les n° 20, 22 ou 24, quai d’Anjou.

  1. Le marquis de T*** (Tavan), ou l’École de la jeunesse : « L’épître dédicatoire à la jeunesse est un petit chef-d’œuvre