de la main de l’auteur, le journal de Nanci, dans lequel ce vil auteur répliquait par de nouvelles calomnies à la réponse vigoureuse que j’avais insérée à la fin de mon xxive volume des Contemporaines[1]. C’est ainsi que j’avais douleurs sur douleurs.
253. 14 jun. Finis impressæ comœdiæ. (Fin de l’impression de mon drame), apparemment à la presse.
254. 16 jun. Hœmorrhoides degradiuntur in matellam[2].
255. 28 jun. Reviso notas epistolas. (Je revois à la hâte les lettres qu’on m’a écrites.) Je les imprime aujourd’hui à la fin des Contemporaines communes.
256. Hodie 29 jun. Sara ad belvederem. (J’ai vu aujourd’hui Sara au boulevard.)
257. Hodie 30. Pariter manè. (Je l’ai vue pareillement ce matin.)
258. 7 jul. Femme par procureur (nouvelle).
259. 10 jul. Meridie malum ad oculos. (A midi, mal aux ieus.)
260. 11 jul. Anniversarium matrimonii Poinot : dedi comœdiam ad Desessarts. (Anniversaire du mariage de Poinot l’aînée : j’ai donné mon drame au comédien Desessarts[3].) La Sorcière. (J’ai fait la nouvelle intitulée La Sorcière de qualité.)
- ↑ Y voir, la Réponse générale aux malhonnêtes gens qui calomnient les ouvrages de M. N. E. Restif de la Bretonne.
- ↑ Matelas dégradé par mes hémorrhoïdes.
- ↑ Acteur de la Comédie française. Il s’était lié avec Restif lors des difficultés de la publication de la Paysanne pervertie, à laquelle il s’intéressait : « Cet artiste a un talent plus universel que Lathorillière, et tout, jusqu’à son physique, con-