Page:Restif de la Bretonne - Mes inscripcions, éd. Cottin, 1889.djvu/241

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« Que je ne vous chasse pas ! — Pardonnez, vous me chassez. » Il était gris ; il courut après moi : je le traitai de monstre. Il leva la canne sur moi en me traitant de gredin ; le à cheval nous sépara.

470. 13 jan. Épreuves J xli Contemporaines et T Paysan-Paysane ; 14, rien le matin ; je vais chés Mérigot (pour mes affaires) ; hier j’ai reçu des nouvelles de Terrasson.

471. 15 jan. Rien ; je sors, et je vais chés le prévôt des Marchands (Le Pelletier), pour ma fille Agnès. Il me prit en particulier, et me dit : « Serais-je assés heureus pour vous être bon à quelque chose ? » Je lui parlai d’Augé, comme d’un mauvais sujet qui fesait le malheur de ma fille, et qu’il falait contenir en l’obligeant. M. Le Pelletier me le promit. (On verra par la suite les beaux effets de cette promesse !) Augé fut installé, quinze jours après, chés M. Legrand, premier secrétaire.

472. 16 jan. 966, Monsieur Nicolas. 17, legi Boulangère (Contemporaine à réimprimer) ; 18, 908 ; 19, 909.

473. 20 jan. Epreuves ; S iv. Paysan-Paysane ; dîner chés nous avec la dinde aux truffes de Joubert. M. de la Reynière en est.

474. 21 jan. Journalistes (mot sur les… (sic), à la fin des Contemporaines)[1].


    demande de M. votre gendre : je serais ravi qu’il se présentât quelqu’occasion de lui être utile. J’en ai parlé ce matin à M. Lepelletier, qui désire fort vous obliger. Il m’a chargé de vous mander qu’il vous recevrait avec plaisir, samedi matin, entre onze heures et midi… » (Contemporaines, t. XIX, 2 e éd.)

  1. Voir, à la fin du 41 volume des Contemporaines, des