Page:Restif de la Bretonne - Mes inscripcions, éd. Cottin, 1889.djvu/244

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

106 Mes Inscripcions.

du Paysan-Paysane ; je rends Agnès à l’infâme Augé.

481. 2 feb. Épreuves ; une date, ce 4e, revue douloureusement !Ma gonnorrhée confirmée ; 3 f. inflammation. 9e et 20e canevas ; 4, fin du 20e canevas ; 5, A XLII volume. Lecture 2de U Paysan-Paysane ; malade ; 6, X Paysan-Paysane, Z Oribeau ; pruritus ; je ne suis sorti qu’à huit heures du soir.

482. 7 f. J’ai relu les Charcutières et les Rôtisseuses ; le soir, querelle violente avec le petit Duchesne : ischurie.

483. 8 f. Terrasson refuse Oribeau ; Rôtisseuses. Je dîne chés Bralle où je me trouve mal ; donné la Paysane.

484. 9 f. Ischurie ; je lis les Rôtisseuses ; 10, la Restauratrice ; 11, j’achève de relire le XXe volume.

485. 12. f. Je relis, chés le prévôt des Marchands, la lettre de la Paysane de la Réception d’Edmond ; 13 f. 2de X Paysan-Paysane ; 2de Z Oribeau ; M XLI ; 14, rien, lavemens, difficulté d’uriner ; 15, ischurie ; strangurie horrible[1] ; Oribeau parafé par M. de Toustain ; 17, je lis les Filles-de-modes ; strangurie insuportable ; 18, mal aux reins ; mandat pour la


    séparée), commis des poudres et salpêtres de France, à l’Arsenal. V. les notes 1 et 2 de la p. 134 et la note 1 de la p. 156.

  1. 1. V. la Femme infidèle (p. 517) : « J’éprouve les suites cruelles de la trahison de 1770, d’une manière d’autant plus inquiétante qu’elle ne diminue en rien les forces du corps et la vigueur de la santé. Les médecins nomment cette maladie d’un nom grec que voici et que je ne vous traduirai pas : Στρανγύρια, ὶσχυρια. Hier, j’ai pensé en mourir. Tout était arrêté. Quel état ! Et que je dois abhorrer celle qui m’y réduit ! (Agnès Lebègue.) » V. la note 4 de la page 174.