Page:Restif de la Bretonne - Mes inscripcions, éd. Cottin, 1889.djvu/263

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


(voyez les deux extraits plus haut, page 000 (sic)[1]. Je crains !

547. 9 8b (Précieuse date, à compter du 9 octobre 1781, et d’après le trouble où j’étais, à pareil jour, en 1784). Réconcilié avec Agnès ; je revois mes dates du 9 octobre.

548. 10 8b La mère qui nourrit, ier exemple du ive volume des Françaises ; 11. La Femme jalouse, la… (sic)… du iie volume ; 12. L’Épouse de jalous, la… (sic)… du iiie volume ; 13, Grand état de mes affaires, (tel qu’il est imprimé ci-après)[2] ; j’achète l’Είϰοϰλητες[3] de Milton ; 14, Inscripcions, fin de l’analise du Paysan-Paysane[4]. ire épreuve des Françaises ; 15, corrigé 2de A des Françaises ; 16, trouvé le… des Françaises ; 18, Furor Augœi (ce

    Voici maintenant un extrait du Journal de Paris, 8 octobre 1785 : « …Si cet ouvrage est lu par les gens aisés des campagnes, il leur ôtera, vraisemblablement, l’envie d’envoyer leurs enfans à la ville, car aucun livre n’en peint mieux les dangers. On y voit le tableau des mœurs intactes, de la vraie probité, de la vie patriarcale de tous les parents d’Ursule restés au village. La religion, la tendresse paternelle, maternelle, filiale, fraternelle, brillent dans ces lettres d’un éclat pur et sans nuages, etc. »

  1. Ce sont les extraits dont nous venons de citer quelques lignes ci-dessus. Le renvoi s’applique évidemment à Monsieur Nicolas où ces extraits sont rapportés (tome XIV, p. 103 de la réimpression). On sait que Restif, au lieu de commencer une pagination nouvelle à chaque volume, faisait suivre les numéros des pages, d’un volume à l’autre. Les mots « plus haut » indiquent bien que Mes Inscripcions font suite à Monsieur Nicolas.
  2. Voir la note 5 de la page 316.
  3. Le véritable titre de l’ouvrage de Milton est Είϰονοϰλάστης, ou réponse au livre Είϰων βασιλιϰή, ou portrait de Charles Ier dans sa solitude et ses souffrances, par le sieur Jean Milton, traduit en français en 1652.
  4. On peut la voir dans le tome XIV de Monsieur Nicolas, p. 32.