mencé la Sournoise, et les Statuts du musée des mœurs[1].
A l’imprimerie, sur ma 43e lettre, xixe volume. Le soir, à. la censure, C. I Françaises. Fait le quart du tour occidental, méridional de l’Ile.
607. 29 Xb. Matin, fin des Statuts du musée des mœurs ; à l’Imprimerie, lettre Saint-Leu[2] 45 ; le soir, 2de S. Contemporaines xxe volume. Grange. Lettres de Mlle Legrand[3] à Saint-Charles[4], contre le Monstre. La Julien[5] est venue à dîner. Mlle Londo s’est informée de ma santé. Quart de tour de l’Ile, comme hier.
608. 30 Xb. Le matin, une page de ma Fisique (59) ; à l’Imprimerie, porté Femme-entendue, et Fille naïve, fait le quart de tour. Timeo. Corrigé, chés Grange, 2de S xx. Marianne chés M. de Toustain. Lettres portées à sa mère et à sa tante de Courgis. Hier soir, la Reynière ; rien dit de ses torts, ni d’Augé.
609. 31 Xb. Le dernier d’une cruelle année ! Le matin, lu D i volume Françaises ; froid rigoureus et sec. Le soir, aux Français,
- ↑ Les Parisiennes sont divisées en séances. La première est consacrée à la rédaction des Statuts du Lycée des mœurs. Les dames qui composent ce lycée s’engagent à raconter, chaque mois, deux histoires ayant trait à des caractères de femmes.
- ↑ Mademoiselle Saint-Leu. Voir la note 1 de la page 21.
- ↑ Mademoiselle Legrand était sans doute la fille de l’avocat au Parlement, secrétaire du prévôt des marchands.
- ↑ Saint-Charles est appelé de Selharnisat dans la Femme infidèle. (V. 4 e partie, p. 767.) Il était avocat.
- ↑ Restif parle d’une « estimable actrice » de ce nom dans les Nuits de Paris, page 3295. Elle faisait partie de la troupe du Théâtre-Italien.