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J>J. GOURD. – LES TROIS DIALECTIQUES. 143

saurait nous donner pleine satisfaction. Voici l’alternative à laquelle nousnous heurtons ou’ bien la vie est prise en un sens restreint, et alors elle ne conditionne que les éléments les moins élevés du bonheur, ceux qui offrent le riioins de richesse et de constance, ceux -tt dont’ il est le plus difficile -de s’assurer ; du bien elle revêt, en se généralisant, un caractère trop vague pour que l’on puisse en déterminer avec-exactitude la nature propre et les degrés. Dans les deux cas, il n’est pas suffisamment tenu compte des nécessités dialectiques. `.

CJcst à une morale idéaliste du bien qu’il faut aboutir. Viser au plus large accroissement de l’activité intellectuelle, tel sera’ notre r ̃ principe. Le bien s’identifiera avec, l’intelligibilité. Comme* la vie ; en effet, l’intelligibilité est étroitement liée au plaisir. Partout où elle’ montrer elle augmente l’activité de l’esprit, et ne savons- >nous,.pas .qu’un accroissement de plaisir correspond toujpurs à un & ; |a£cïois.s^^ `passant,qïi`e `cettë corres

îf> ^pôndanCë-tipiFto l’âÿ~ns déjà établie i

p6 -niais 11--fa l étendré à.t9ùtL’a,ctivite véri-`" ̃̃ ’y -table ;’ • fôatb- acUvife/ disliric te ; dè/l’a trarismissioiï ̃causal^ j} !àutrev C &t rM :$î : i v(ïv :; Ipart^onîattrait’tôift Ûe, ïa^limiter ; ’aùx^« : ’actions ni^yénnës ;. ’>n ^EJne ?: ’̃ ;̃" -i~L :Y :^ V. T’ f ^tiyitë ïïe ;èaurait ;:étrB-doM que l’on nominé ^y-4^e)âvjté’exç^ qu~uriéF côricéntràtion exéés

v’Iïsivë’id’aAtivite.] ?^ ce-, cas la souffrance 6provient nôn de, ~e ^> ’^Vj’quyi y’ a- tr^gl d^ëtwit^ çôncéntration, màis. d,e `ce j^ Su"it û’y’rfin^ âï^as’à^ woisW `a~é Éncore ç ;ôm~më la a^V : KViev :l’ïntëjligi^ plàisir série Est-élle ltiÇi·e " ;>> Ihbse ;«Ile^ën^-qii’unë :cSô^râ Si ellè apporte t de : I’acti’vi’té,

̃ j ;r ;n ?ëst ?-c’ë :pasïpàr :l^ -qù’elle ~ôoidônne~` ?· IViais,

"’lr ;< :|lus ;qïïèAjav la v :ie au >sens xestrëmt, vie non -̃ intellectuel^ raisôn~ que le ~bôziheur ;ëlle- reste indifférente à la. nature pajrtiçulièrë ;t ;à^intènsijté-de ;ses ^rraès^fc^ * ?^| rigoureusement parler, il ;n’y-pàs.^èJfaits5vitauxvf comme ; il ;^fcàes :;ï.v"fX^r^tS faits agréables ; il n’y a qûe ;;defe.MfcénSra^ de_-vie.`~pe~rt-être aucun d’eux, en déunitivèvi :n^a ;y ?-il^d’autre ^valeur ; j^e>{cën’6^-d-ufleV^i^f’jf ;j| ; unité numérique’ ajoutée jà" ; d’aiitreSOuriité^ ,numengues ;:v ;Êependantr :ï4 v^. i f I ^i ;; tous les" faits ne- peuvent’ entrer- : ënVteppiorf de/ :{vië, tandis •q^^ùsV^v^G peuvent entrer en rappoft^iatelligibiïitëiiil^utj^pp^ pour la ïV>" i :;>ï£ï moins des circonstances particuliêrës, ;deçprépOTationB’ ;pàrticulière^vr^ tandis q’ue, -pour la sciontee^ll.riîësWieèoinyque.-B’uiie ; Cpprdiiïatioiï ;; v ~^)^[^ ;M