Page:Revue des Deux Mondes - 1830 - tome 4.djvu/361

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.
347
LETTRES SUR LA GUADELOUPE.

étaient admirablement travestis par des Hottentots et des nègres de Mozambique. Le café circulait, et avec lui la gaieté ; mais au moment où la joie et la bonne humeur étaient au comble, on entendit les roues d’un chariot. Le violon cessa, les lumières disparurent, et tout fut plongé dans le silence et l’obscurité. Jamais dans conte de fée, le chant du coq n’eut un effet plus prompt.»