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du cabinet britannique, en faisant ressortir les fautes accidentelles et les inconvéniens inséparables du système, en répétant toutes les critiques et en affectant d’ignorer les réponses les plus péremptoires et les relations avantageuses publiées en Angleterre et même en France[1].

J. de Blosseville,
Lieutenant de vaisseau.
  1. Nous reviendrons prochainement sur ce sujet ; un de nos collaborateurs, qui s’occupe depuis long-temps de l’histoire des établissemens anglais dans les terres australes, nous promet d’importantes communications à cet égard. Les colonies pénales sont peut-être maintenant un des plus pressans besoins de la France. Cependant nous possédons Alger. N’y aurait-il pas moyen d’y verser la partie turbulente de la population ? L’état y gagnerait en bonheur et en tranquillité ; le commerce et l’agriculture, en activité.

    (Note du D.)