Page:Revue des Deux Mondes - 1833 - tome 1.djvu/612

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.
606
REVUE DES DEUX MONDES;

Que triste abattement et plus triste folie ;
Comme en toute liqueur j’ai rencontré la lie,
Quand me revient encor l’air pria che spanti,
Voyant que ce beau temps à jamais est parti,
À ce doux souvenir je m’arrête et demeure,
Tel qu’un homme qui pense et qui souffre et qui pleure.


*