Page:Revue des religions, Vol 1, 1892.djvu/539

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je briserai la porte ………………………
………………………………………

[Tab. X.] « Ecoute-moi, vieillard, ………………
[Col. II.] moi, à Eabani, ………………………………
comme un moucheron (?), ………………………
la hache attachée à mon côté, ………………
5 le glaive suspendu à ma ceinture, ………………
[………] mes fêtes ………………
………… il vint et ………………
……………… donne ………………
………………………………………

«………………………………………
……………… la parole de mon ami ………
………… la parole d’Eabani …………
10 ……………………… je m’en revins,
…… que je ramène (?), que j’évoque (?)………
Mon ami, celui que j’aimais est retourné en poussière ; Eabani, mon ami, celui que j’aimais, est retourné en poussière.
Moi, (dit-il), je ne veux point mourir, certes, comme lui ;
je ne veux point entrer dans la forte citadelle. »
15 Gilgamès, s’adressant à Sabit, lui dit :
« Maintenant, Sabit, (dis-moi) quel est le chemin qui mène vers Samas-napistim ?
Quel est ce chemin ? Fais-le moi connaître, oh ! oui, fais-le moi connaître.
Si le passage est facile, je franchirai la mer,
si, au contraire, le passage est impossible, je reviendrai sur mes pas. »
20 Sabit, s’adressant à Gilgamès, lui dit :
« Il n’existe point de passage, ô Gilgamès,