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Page:Revue pédagogique, premier semestre, 1900.djvu/141

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FÉLIX PÉCAUT

Pensée touchante et triste. Si elle est vraie, il faut bien l’accepter. Oui, notre souvenir durera peu ; comme nous oublions, on nous oubliera. Mais si l’homme passe, son œuvre dure. Méditez cette belle parole : « La vie n’est que d’un instant, mais cet instant suffit à entreprendre des choses éternelles. » Votre influence durera longtemps si elle est forte, sainte, affectueuse.

(M. Pécaut partait, à la fin de février, pour la visite annuelle des écoles de la province.)