Page:Rictus - Les Soliloques du Pauvre, 1903, 5e éd.djvu/132

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Ah ! rien n’t’émeut, va, ouvr’les bras,
Prends ton essor et n’reviens pas ;
T’es l’Étendard des sans-courage,
T’es l’Albatros du Grand Naufrage,
T’es le Goëland du Malheur !



Steinlein - Jehan Rictus Le revenant