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IV





Steinlein - Jehan Rictus Le revenant






— Ed’ton temps, c’était comme aujord’hui ?
Quand un gas tombait dans la pure
Est-c’qu’on l’laissait crever la nuit
Sans pèz’, sans rif et sans toiture ?


— (Pass’que maint’nant gn’a du progrès,
Ainsi quand gn’a trop d’vagabonds
Ben on les transmet au Gabon.)
Ceux d’bon gré et ceux d’mauvais gré