Page:Rictus - Les Soliloques du Pauvre, 1903, 5e éd.djvu/147

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Car y n’a qu’deux yeux pour tout voir.


Le Ciel, la Terre et les Étoiles
Sont prisonniers d’ses cils en pleurs.
Y n’peut donc compter qu’su’lui-même.
J’m’en vas m’remuer, qu’chacun m’imite,
C’est là qu’est la clef du Problème,
L’Homm’doit êt’son Maître et son Dieu !

Steinlein - Jehan Rictus Le revenant