Page:Rictus - Les Soliloques du Pauvre, 1903, 5e éd.djvu/205

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Oh ! deux bras frais qui m’am’raient bien
Et ça n’s’rait-y qu’dans un boxon,
La pus moche, la pus chausson
(Mais y faurait qu’ça m’coûte rien !)

Steinlein - prière



XVI




Seigneur mon Guieu, sans qu’ça vous froisse,
J’vous tends mon cœur, comm’la Pucelle,
Et pis mes bras chargés d’angoisse,
Lourds du malheur universel !