Page:Rictus - Les Soliloques du Pauvre, 1903, 5e éd.djvu/231

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Nocturnes


Tâtez, l’essai n’en coûte rien,
Car moi j’connais tous les bons coins,
Tous les trucs… on peut pas me l’mette
À forc’comm’ça d’trouver des joints
Et d’boulotter mes kilomètes.

Aussi des fois su’la grand’Ville
Du haut en bas, du sud au nord,