Page:Rictus - Les Soliloques du Pauvre, 1903, 5e éd.djvu/250

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Pour ceuss’là qui z’en ont soupé,
Pour les Écœurés, les Trahis,
Pour les Pâles, les Désolés,
À qui qu’on a toujours menti
Et que les roublards ont roulés ;

Eun’mason… un cottage… eun’planque,
Ousqu’on trouv’rait miséricorde,
Pus prop’s que ces turn’s à la manque
Ousque l’on roupille à la corde ;

Pus chouatt’s que ces Asil’s de nuit
Qui bouclent dans l’après-midi,
Où les ronds-d’-cuir pleins de mépris
(Les préposés à la tristesse)
Manqu’nt d’amour et de politesse ;

Eun’Mason, Seigneur, un Foyer
Où y aurait pus à travailler,