Page:Rictus - le Cœur populaire, 1920.djvu/197

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Si des fois un peu tu t’ récures,
c’est l’ Dimanche et les jours de fête ;
mais tu n’ mets d’ l’eau qu’ dans eune assiette,
pis t’ emploies que l’ bout d’ la serviette,
et jamais pus bas qu’ la ceinture,


Ouvrier mon frère, Ouvrier.


Ou ben tu vas chez l’ perruquier
et faut qu’on t’ fout’ de l’eau d’ Cologne
su’ l’ coin mal gratté de ta trogne.


Tes dents ? Jamais tu ne les brosses,
avant comme après ton repas.
Quant au devoir de t’ nettoyer
le trou du figne et les balloches,
tu ne t’en doutes même pas.