Page:Riemann - Œuvres mathématiques, trad Laugel, 1898.djvu/461

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SUR LÀ THÉORIE DES FONCTIONS ABËLIENNES. Œuvres de Riemann, 20 édition, page 487, Soit (e*, e2, ep) un système de grandeurs jouissant de la propriété suivante 3r(ei, , o p) — o. D’après l’art. 23 du Mémoire Sur la Théorie des Fonctions abéliennes OEuvres de Riemann, 2eédit.,p. 134 (ici p. toi)], la congruence P-1 p-1 afv ! 1p «’V) 1 1 2p — 2 9/7 — 2 - 2 -2 /> P est sous cette hypothèse satisfaite par certains points th, ti2. . . Tisp-’ii qui sont associés par l’entremise d’une équation 0 = 0. Si l’on désigne alors par u^ et les valeurs que prennent les intégrales de première espèce u^ pour deux systèmes de valeurs indéterminés s, z et , ziy la fonction considérée comme fonction de s, zy s’évanouit pour (syzê(s,, s,)