Page:Rodenbach - L’Arbre, 1899.djvu/44

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

Nous en étions, nous, à l’âge primitif. Nous allons apprendre tous les vices…

Le bourgmestre concéda des aveux : « C’est vrai que ces ouvriers étrangers, leurs surveillants, leurs ingénieurs même, ont des mœurs déplorables. Chaque jour, les dimanches surtout, on les rencontre ivres sur les routes… Déjà les nôtres boivent sans cesse pour les imiter. »