Page:Rodenbach - Le Règne du silence, 1901.djvu/237

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Qui s’éteint avec elle en très lente agonie ;
Et tout le triste doux d’une chose finie
Et tout le triste doux d’une chose en allée
Subsiste après ce bleu de vapeur exhalée
Comme si la fumée, on savait qu’elle porte
Un linceul impalpable à quelque étoile morte !