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Page:Roland - Palmira, 1801, tome 4.djvu/7

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PALMIRA.


CHAPITRE XXXVIII.




Un jour, l’abbesse fit prier Palmira de se rendre chez elle, ayant des choses importantes à lui communiquer. Palmira descend aussitôt, et elle ne peut se défendre d’un pressentiment effrayant en voyant le visage décomposé de l’abbesse, une affectation de douleur dans son maintien, et l’entendant lui parler d’abord de la résignation que l’on doit apporter aux décrets de la providence, qui, d’ail-