Page:Rolland - Vie de Beethoven.djvu/150

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Il n’y a rien de plus beau que de s’approcher de la divinité, et d’en répandre les rayons sur la race humaine.

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Pourquoi j’écris ? — Ce que j’ai dans le cœur, il faut que cela sorte ; et c’est pour cela que j’écris.

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Croyez-vous que je pense a un sacré violon, quand l’Esprit me parle, et que j’écris ce qu’il me dicte ?

(À SCHUPPANZIGH.)
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D’après ma façon habituelle de composer,