Page:Rolland Clerambault.djvu/383

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

— Mon pauvre ami ! pensait-il. C’est en toi qu’est l’ennemi…

Il referma les yeux… Les siècles passèrent…

— Il n’y a plus d’ennemis…

Clerambault goûtait la paix des mondes à venir.