Page:Rollinat - L’Abîme, 1886.djvu/235

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Contagieux d’ennui, de fiel et de poison,
Il insuffle son âme au ciel, à l’horizon,
Qui deviennent un cadre où vit sa ressemblance.

Et retrouvé partout, son fantôme qu’il fuit,
Contaminant le jour et dépravant la nuit,
Fait frissonner le calme et grincer le silence.