Page:Rollinat - Paysages et paysans.djvu/197

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Enfin, faut espérer q’la nouvell’ que j’vas prendre,
Dans sa natur’ de femme agit et pens’ comm’ moi.
C’qui prouv’rait qu’en amour si j’suis pas d’ceux plus froids,
Ell’, non plus, tout à fait, ell’ gèl’ pas à pierr’ fendre. »