Page:Ronsard - Tableau chronologique des œuvres, Laumonier, 1911.djvu/20

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Ma promesse ne veut pas (II, 57 ; II, 107).
Ne pilier, ne terme dorique (II, 63 ; II, 113).
O France, mere fertile (II, 63 ; II, 114).
Aujourdui je me vanterai (II, 98 ; II, 148).
Le potier hait le potier (II, 105 ; II, 156).
Le medecin de la peine (II, 108 ; II, 159).
J’ai tousjours celé les fautes (II, 109 ; II, 160).
La fable elabourée (II, 111 ; II, 162).
Puissai-je entonner un vers (II, 445 ; VI, 95).
La mercerie que je porte (II, 114 ; II, 165).
Celui qui ne nous honore (II, 117 ; II, 169).
Toreau, qui desus ta crope (II, 119 ; II, 171).
O Père, ô Phebus Cynthien (II, 122 ; II, 174).
Ne seroi-je pas encore (II, 125 ; II, 177).
Lire dorée, où Phebus seulement (II, 127 ; II, 178).


Contenu du Second livre :

Je te veil bâtir une ode (II, 130 ; II, 181).
Descen du ciel, Caliope, et repousse (II, 134 ; II, 185).
Vien à moi, mon luc, que j’acorde (II, 137 ; II, 187).
Quand tu aurois des Arabes heureus (II, 139 ; II, 189).
La lune est coutumiere (II, 141 ; II, 192).
Quand la tourbe ignorante (II, 143 ; II, 194).[1]
Cassandre ne donne pas (II, 145 ; II, 196).
Ma petite nimphe Macée (II, 147 ; II, 198).
O Déesse Bellerie (II, 148 ; II, 199).[2]
Les trois Parques à ta naissance (II, 437 ; VI, 92).
Fai refreschir le vin, de sorte (II, 149 ; II, 200).
Le tens de toutes choses maistre (II, 446 ; VI, 97).
En mon cueur n’est point écrite (II, 386 ; VI, 47}.
Si l’oiseau qu’on voit amener (II, 150 ; II, 201).
Ta génisse n’est assés drue (II, 448 ; VI, 99).
Muses aus yeus noirs, mes pucelles (II, 449 ; VI, 100)
O terre fortunée (II, 155 ; II, 205).[3]
Que nul papier dorennavant (II, 450 ; VI, 101).
Ma Guiterre, je te chante (II, 387 ; VI, 50).

  1. Var. de l’éd. Bl. : Quand la Guyenne errante ; de l’éd. M.-L. : Lors que la tourbe errante
  2. Var. des éd. Bl. et M.-L. : O fontaine Bellerie
  3. C’est l’ode qui dans ces deux éditions commence par une strophe supplémentaire : Des Autels, qui redore…|Marty-Laveaux, trompé par la différence des premiers vers, a placé à tort
    cette pièce parmi les Odes retranchées (VI, 48).