Page:Ronsard - Tableau chronologique des œuvres, Laumonier, 1911.djvu/79

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Je liay d’un filet de soye cramoisie (I, 295 ; I, 272).
D’un profond pensement j’avois si fort troublée (I, 296 ; I, 273).
Aller en marchandise aux Indes precieuses (I, 329 ; I, 306).
Comme je regardois ces yeux (mais ceste fouldre) (I, 304 ; I, 281).
Le mois d’Augst bouillonnoit d’une chaleur esprise (I, 330 ; I, 307).
Ma Dame beut à moy, puis me baillant sa tasse (I, 334 ; I, 310).
J’avois esté saigné : ma Dame me vint voir (I, 334 ; I, 311).
Si la beauté se perd, fais-en part de bonne heure (I, 335 ; I, 311).
Amour, seul artisan de mes propres malheurs (I, 335 ; I, 312).
Cythere entroit au bain, et te voyant pres d’elle (I, 336 ; I, 312).
J’ay honte de ma honte, il est temps de me taire (I, 336 ; I, 313).
Maintenant que l’Hyver de vagues empoullées (I, 337 ; I, 313).
Chacun me dit : Ronsard, ta maistresse n’est telle (I, 381 ; I, 359).
Au milieu de la guerre, en un siecle sans foy (I, 331 ; I, 308).
Le Juge m’a trompé : ma Maistresse m’enserre (I, 332 ; I, 308).
Un long voyage ou un courroux, ma Dame (IV, 324 ; I, 360).
Trois jours sont ja passez que je suis affamé (I, 323 ; I, 300).
Prenant congé de vous, dont les yeux m’ont donté (I, 324 ; I, 301).
Quand je pense à ce jour, où pres d’une fonteine (I, 324 ; I, 302).
Quand l’Esté dans ton lict tu te couches malade (I, 382 ; I, 362).
D’autant que l’arrogance est pire que l’humblesse I, 380 ; I, 357).
Ma peine me contente, et prens en patiance (I, 332 ; I, 309).
Vous triomphez de moy, et pource je vous donne (ibid. ; ibid).
Voyez comme tout change (hé, qui l’eust espéré !) (I, 333 ; I, 310).
Je suis pour vostre amour diversement malade (I, 350 ; I, 325).
Ma Dame, je me meurs abandonné d’espoir (I, 350 ; I, 326).
Voyant par les soudars ma maison saccagée (I, 351 ; I, 326).
Vous estes le bouquet de vostre bouquet mesme (I, 352 ; I, 327).
Amour, je ne me plains de l’orgueil endurcy (I, 422 ; VI, 31).
Amour, je pren congé de ta menteuse escole (I, 330 ; I, 307).
Doux cheveux, doux présent de ma douce Maistresse (I, 379 ; I, 356).
Je vous donne des œufs. L’œuf en sa forme ronde (V, 361 ; II, 33).
Est-ce le bien que tu me rends, d’avoir (I, 273 ; I, 253).[1]

  1. Sonnet suivi de ce « vœu à Venus » de 1571 : Belle Deesse, amoureuse Cyprine.