Plus l’homme s’éloigne des consolations terrestres et plus il s’approche de Dieu. Plus l’homme descend en lui-même et plus il se sent petit, plus il s’élève vers Dieu.
Descendre dans sa conscience, c’est comparaître devant Dieu.
Seul l’homme intérieur reçoit les influences de Dieu, et son union avec la personne physique échappe à la compréhension.
Il y a dans la vie morale de l’homme des instants où il se sent ravi, hors de lui-même et transporté jusqu’à Dieu.
L’homme qui ne néglige aucun effort pour se placer au rang des meilleurs est comme un prêtre, un ministre de Dieu, un ami de Celui qui habite en lui.
Ceux qui, dans ce qui est l’Essence, voient l’Essence, et dans ce qui n’est pas l’Essence, ne voient pas l’Essence, ceux-là s’abandonnent à de légitimes aspirations et atteignent à l’Essence.
La Vérité absolue n’existe pas pour l’homme des sens.