Page:Rousseau - Du contrat social éd. Dreyfus-Brisac.djvu/407

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

334 DU CONTRAT SOCIAL. parce qu’i1 y a déia une épigraphe et qu’il n’en faut pas deux; ma devise ne doit étre qu’a la téte de mon recueil général (1). 1.1-:·r·rn1; A new (17 février 1762). I

 Voici votre épreuve M, dans laquelle ·ie suis bien faché de

n’avoir pas le temps de transcrire plus nettement Ia note qui répond a la page 1go. .I’espére pourtant qu’avec beaucoup d’atteution l’on pourra parvenir a la déchiffrer exactement. Faites tirer une scconde épreuve a cause de cette note, et faites-la, ie vous prie, examiner avec soin par un homme de lettres, a cause des deux passages latins. Je vous avoue que je suis un peu inquiet a cause que vous avez laissé I passer une faute dans celle de Calvin. J’ai ajouté une autre note page 187; mais comme il y a place pour 1’une et pour l’au1re, elles I n’exposeront a aucun remaniement. Ainsi, si cette feuille n’est pas aussi correcte que les autres, ce sera la faute de l’imprimeur et la I votre. Adieu, je continuerai de revoir les épreuves qui me viendront... p I 1.1z·1··rn1=: A nav (28 février 1762). J ’ai bien du chagrin que la feuille M, celle précisément que ie vous avais le plus recommandée a cause de la note, soit précisément celle ) qui a le moins été revue. Je 1’attends avec impatience pour juger des cartons dont elle peut avoir besoin. ) Je trouve votre titre trop confus. Il faudrait que l’oei1 y distinguat trois parties, bien séparées par des blancs: 1° le titre de Pouvrage; 2° le nom et le titre de l’auteur; 3° Pépigraphe, et que cette épigraphe ne se confondit point dans la vignette. Arrangez cela, ie vous prie, du mieux que vous pourrez. I Faites attention dans la table a ce que j’ai marqué sur les titres des livres, qui doivent étre autrement disposés que les titres des cha- I pitres. On a coté les chapitres sur les pages du manuscrit pour ce qui n’était pas encore imprimé. J'ai changé ces numéros sur 1’i1np1·imé I dans les bonnes feuilles qui me sont parvenues jusqu’ici, mais je n’ai pu aller jusqu’au bout. Veillez exactement, je vous prie, a ces chan- ) gements, car rien n’est plus désagréable au lecteur que de trouver de faux renvois dans les tables; vous ne pourrez, pour cette raison, ) tirer la feuille de titre que quand tout l’ouvrage sera composé. 1.1=:·1··rn1: A nav (11 mars 1762). Voici, mon cher Rey, les dernieres épreuves ou j’ai retranché la ) derniére note devenue inutile depuis que le sort de nos malheureux l (1) La devise dont Rousseau parle est, comme on sait : Vitam impendcre vero. ·