Page:Routhier - Portraits et Pastels Littéraires (sous le pseudonyme Jean Piquefort), 1873.djvu/17

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Si peu expérimenté que soit le lecteur canadien, il a deviné tout ce qu’il y avait de factice, de convenu, de maniéré dans cette éclosion soudaine de poésie lyrique et dramatique*.h, -X * l {;;c asm Il serait trop long d’entrer dans un ex- amen critique détaillé de chacune des trois légendes qui composent le volume. Une grande partie dés observations que nous aurons à. faire sur l’une: d’elles s’ap¬ plique, d’ailleurs, aux deux autres, et c’est pourquoi nous nous bornerons à feuille¬ ter un peu la Jongleuse et la Fantaisie qui lui sert de.prologue; j v,:. vûo't *ril ' * • G’est l’oeuvre capitale du poète. Il y a mis toute son habileté de ciseleur, toute sa force d’artiste, toute sarichèsse de cor loriste.. Il a voulu éle ver son monument, bâtir sesrcôlpnnes > d’Hercule^ et! il ’alcru qu’il avait réussi. Il s’est trompé. La Jongleuse forme à elle seule plus de la moitié du volume, mais ce n’est pas lâ mieux remplie. La Fantaisie porte bien son titre, mais n’est pas à sa p£acei X*au- teur sentait lë besoin de parler un rpëu de lui-même et de placer quelque part des phrases faites depuis longtemps. Elles étaient si fleuries, ces chères phrases 1 EHes avaient tauÇ ébloui leur peçeriori de leur éclosion î U n’était parpossiblé

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