Page:Rutebeuf - Oeuvres complètes, recueillies par Jubinal, tome II, 1839.djvu/531

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Page. ligne Au lieu de lisez :
118, 13. n’en charrai, n’encharrai. Fait
130, 13. a, à. Fait
1Ib., 20. Qu’el’, Qu’el. Fait
1Ib., 26. Quarriers, Qu’arriers. Fait
132, 13. n’oparoit, no paroit. Fait
137, 18. N’es, Nès. Fait
137, 20. t’es, te’s Fait
138, 24. tel, tes. Fait
139, 17. qui, que. Fait
1Ib., 12. Por, Pou. Fait
141, 22. si, s’i. Fait
1Ib., 23. ni, n’i. Fait
144, 11. Lorsa Lors a. Fait
153, 18. A la, Ala. Fait
179, 29. guerredon, guerre don. Fait
181, 10. de fermes, d’enfermes. Fait
195, 11. Celes, Ce les. Fait
234, 26. paine ; » paine. Fait
244, 19. faillir, saillir. Fait
246, 22. por, par. Fait
247, 20. Ai tant, A itant. Fait
285, 19. Deus, d’eus. Fait
288, 31. deschauciez, deschaucier. Fait
301, 28. nuel, nule. Fait
326, 11. desouz, desour. Fait
369, 17. enuis, envis. Fait
1Ib., 27. Kà, K’à Fait
370, 13. enuis, envis. Fait
371, 24. fai Dieu, faidieu. Fait
372, 10. deseurèrent, desevrèrent. Fait
379, 13. m’anvie, m’anuie. Fait
459, 14. lilions, li lions. Fait
461, 27. ne’s’, ne’s. Fait


OMISSION.

Fait

Page 423, ligne 33, tome Ier. — Par une distraction singulière, l’imprimeur, à la place d’une opinion de M. Monmerqué que je voulais citer, a mis comme étant cette opinion même les réflexions qu’elle me suggère. Il faut donc, au lieu de ce qui existe, lire les paroles suivantes de M. Montmerqué : « M. Roquefort fait remonter l’art dramatique parmi nous jusqu’au 12e siècle ; il considère le fabliau d’Aucassin et de Nicolette comme le premier essai de ce genre. Nous croyons cependant impossible de placer ce joli fabliau au nombre des pièces de théâtre. Il consiste dans une narration touchante faite par un ménestrel, qui la suspend par intervalles, tandis que son compagnon chante sur son luth des morceaux de poésie. Ou n’y trouve ni dialogue ni action mise en scène, rien de ce qui constitue l’ébauche la plus imparfaite d’une pièce dramatique. On peut en dire autant des Jeux partis, et par conséquent du fabliau des Deux Bordeors Ribauds, que M. Roquefort regarde comme une esquisse théâtrale. Ces pièces n’offrent point de dialogue ; ce sont deux discours et pour ainsi dire deux plaidoyers qui se succèdent l’un à l’autre, etc. » Viennent alors mes réflexions sur ce passage. Elles commencent par ces mots : — L’opinion de Legrand d’Aussy, etc.