Page:Sébillot - Contes de terre et de mer.djvu/21

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fois qu’elles passaient devant leur ancienne demeure, elles s’arrêtaient et semblaient vouloir y entrer ; mais le mari ne les trouvait pas encore suffisamment punies, et il excitait leur conducteur à les faire marcher.




Pendant huit jours, elles firent ce métier pénible qui les fatigua et les maigrit : alors leur maître leur permit de rentrer à l’écurie pour les reposer un peu ; mais souvent il les employait aux plus durs travaux.