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XXXVI
LE HAUSSEUR
Il y avait une fois un homme qui ne savait comment gagner sa vie. Comme il était bon farceur, et qu’il avait la langue bien pendue, il résolut de parcourir les campagnes et de tromper les diots (sots).
Un jour il passa sous les fenêtres d’un château en criant :
— C’est moi qui les hausse, qui les baisse, qui les laisse de même !
La dame du château dit à sa servante :