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départ.



Et moi je vois toujours fuir des champs sur la rive,
Des villes, où parfois on suspend son chemin,
Où les petits enfans, faisant la voix plaintive,
Viennent tendre la main ;


Des flots que le pêcheur assouplit sous sa rame,
Des bois où le soleil a peine à se glisser,
Des villages déserts, où quelque pauvre femme
Vous regarde passer.