pier, mon buvard, mes tapisseries, mes crayons, mes couleurs, mes pinceaux, fourre tout cela dans la malle et vivement.
Mais mademoiselle jette tout sur les mantelets, les fichus ! Tout va être écrasé, chiffonné à ne pas pouvoir servir.
Pas du tout ; il n’y a pas loin à aller ; il n’est pas nécessaire d’emballer comme pour un voyage en Chine ; mettez, mettez toujours. »
À force d’entasser robes, chaussures, livres, papiers, parfumeries, etc., la caisse se trouva pleine ; il restait encore une foule d’objets.
Tout est plein, mademoiselle, et il reste encore bien des choses à emballer, linge, coiffures, statuettes, etc.
Eh bien, allez me chercher une seconde malle ou caisse, cela m’est égal ; allez vite. »
Azéma sortit et rentra en courant et traînant après elle une autre caisse presque aussi grande que la première.
C’est bien. Voici encore quelques effets ; vous aviez oublié mes robes de chambre, mes boîtes de bijoux, ma toilette de voyage, mes boîtes de couleurs ; mettez les boîtes au fond.
Mademoiselle emporte donc tout ce qu’elle a