— Merci, Monsieur, merci, s’écria Frédéric rayonnant de joie. Depuis plus d’un an, je mène la vie la plus misérable, et c’est à vous que je devrai le bonheur. »
M. Georgey regardait avec satisfaction Frédéric, dont les yeux se remplissaient de larmes de reconnaissance.
C’était très bien, my dear. Toi rester encore bonne créature ; Alcide il était parti, toi jamais voir cette coquine, cette malhonnête. C’était très bien. »
M. Georgey rentra avec Frédéric.
Caroline, Fridric prendre logement ici. Lui rester oune semaine. Vous, préparer oune couchaison.
Mais, Monsieur, je n’ai ni chambre ni lit à lui donner.
Vous cherchez dans lé bourg vitement.
Mais, Monsieur, personne ici n’a de lit à prêter.
Jé demandais pas prêter ; jé demandais acheter. Allez vitement acheter lé lit de la coquine Alcide.
Combien faudra-t-il le payer, Monsieur ?
Caroline, vous mettez en colère moi. Payez quoi