Page:Sénac de Meilhan - L'Émigré, Tome 4.djvu/111

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pas fait un mouvement, donné un signe de vie, quelques moyens qu’on ait employés pour le ranimer. C’est un coup de sang, qui aura vraisemblablement fait périr cet honnête gentilhomme. Vous jugez, monsieur le Marquis, de la désolation de tout le château. La mère de la Comtesse dont vous connaissez l’excellent cœur, m’a chargé de vous écrire pour vous prévenir de l’affreux accident qui ne lui permettra pas de vous recevoir. J’ai l’honneur d’être avec la plus haute considération,

Monsieur le Marquis,


Votre très-humble et très-
obéissant serviteur,

le Baron de Warberg.