Page:Sénac de Meilhan - L'Émigré, Tome 4.djvu/163

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à la Comtesse ; puis a dit en avançant son verre vers le sien et vers le mien : j’ai l’honneur de boire à la santé de monsieur et de madame la baronne de *** ; lis donc Victorine ; et elle a lû une donation de la baronnie de ***, avec l’usufruit pour moi en cas que je perde la Comtesse. Vous jugez de l’attendrissement des spectateurs et des transports de ma reconnaissance.

Adieu, je finis, et c’est aussi-bien fait, car un volume ne contiendrait pas ce qui se passe dans mon cœur et dans mon esprit. Le plus heureux des hommes embrasse la plus chérie, la plus courageuse, la plus obligeante, la plus raisonnable et la plus spirituelle des cousines passés, présentes et futures.

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