Page:Sénac de Meilhan - L'Émigré, Tome 4.djvu/212

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vous demande de vous souvenir d’un homme qui vous est tendrement attaché.



LETTRE CLXIII.

Séparateur


Le Vicomte de ****
au
Comte de Longueil.


J’ai à remplir, monsieur le Comte, un bien douloureux devoir auprès de vous ; nous avions un ami, hélas ! il n’est plus : agité d’un noir pressentiment il me remit, quelques jours après son arrivée à notre armée, un porte-feuille qu’il me pria de faire déposer dans quelque lieu sûr, pour