Page:Sénac de Meilhan - L'Émigré, Tome 4.djvu/221

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lieu qu’après sa mort, et que cette circonstance excluant toute dépendance, permet à la délicatesse de recevoir les dons de l’estime ou de l’amitié.

5o. Sur les sommes restantes, il sera pris celle nécessaire pour faire faire un souvenir d’or émaillé, avec ces mots en diamans : souvenir du plus tendre amour, que je supplie madame la comtesse de Loewenstein d’accepter. Secondement trois autres pareils, avec ces mots : souvenir d’amitié, dont l’un sera remis à mademoiselle Émilie de Wergentheim, l’autre à monsieur le Commandeur de Loewenstein et le troisième à monsieur le comte de Longueil.

Je supplie monsieur le comte de Longueil, que j’ai depuis long-temps regardé comme mon père, de vouloir