Page:Sénac de Meilhan - L'Émigré, Tome 4.djvu/255

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jugez, a-t-il ajouté, de la profonde impression que doit produire sur celle de madame la Comtesse, le tableau d’un Dieu irrité, qui demande compte à un mortel, du dépôt qu’il lui a confié, et celui des tourmens réservés à ceux qui ont transgressé ses immuables lois. » Il ne sera plus question, d’après ces considérations, d’instruire la Comtesse et de changer le cours de ses idées. Elle est à peu près dans le même état où vous l’avez vue, mais l’abattement semble être plus marqué. Adieu, Mademoiselle.

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