Page:Sénancour - Rêverie sur la nature primitive de l’homme, tome 2.djvu/76

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Dieu par la pensée, insectes pour le bonheur, nous
voici semblables à ce Jupiter dont le temple est aux
Petites-Maisons : il prend pour une cassolette d’encens,

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l’écuelle de bois où fume la soupe qu’on | apporte dans sa
loge ; il règne sur l’Olympe, jusqu’à l’instant où le plus
vil geolier lui donnant un soufflet, le rappelle à la vérité,
pour qu’il baise la main et mouille de larmes son pain
moisi.


VINGT-SIXIÈME RÊVERIE



Quelle que soit… | …une nuit sans nuages (Ob.
XLVIII, 3-5). On voit ces soleils… …sentent et
meurent (Ibid., 7-9). On voit les astres… …voit leurs
distances (Ibid., 5-7) ; et cette immensité semble tenir
de l’infini.
La tige… …sa vie secrète (Ibid., 10-13) ; elle ignore
le monde animé, elle veut de la permanence ; elle croît

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invisiblement ;… | …et nos craintes (Ibid., 13-20) ?
Pour quel temps… …mort comme elle (Ibid., 22-
33). Intelligence des mondes !… …que de démence !
(Ibid., 35-42).
Les conceptions étendues… …au premier vent

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(Ibid., 84-87). Ces conceptions… | …brise sans
regret (Ibid., 100-104). Le métal… …reçoit les
empreintes (Ibid., 88-93) ? Cependant après avoir…
…il meurt (Ibid., 94-96) : vous avouez… …plus de


    milieu de ses succès, et Ninon de Lanclos, dont le caractère et le sort paroîtroient ce qu’il y a de plus propre à l’amusement de la vie dans nos capitales.