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458 NOTICE BIBLIOGRAPHIQUE.

61. Lettre inédite du marquis de Sévigné à la comtesse de Grignan, sa sœur, sur les affaires de leur maison. Publiée par M. Monmerqué Paris, imprimerie de veuve Dondey-Dupré, 1847, m-8".

Cette lettre, la plus longue de toutes celles qui nous restent

de Charles de Sévigné, a été tirée à un petit nombre d’exem-

plaires. Elle se trouve dans notre tome X, p. 4i3.

62. Tablettes de voyage par Mme de Monmerqué. Deuxième édition. Suivies de Lettres de Mme de Sévigné, de sa famille et de ses amis, qui n’ont pas été réunies à sa correspondance. Paris, Ledoy en, i85i, in-i8, 104 pages.

A la suite des Tablettes de voyage, qui avaient paru d’abord

dans le Journal des Dames, et qui sont le récit de la visite faite

aux Rochers par M. et Mme Monmerqué, se trouvent douze lettres,

la dernière inédite, précédées de ce titre Lettres de Mme de Séri-

gné, de sa famille et de ses amis, faisant suite à l’édition de Blaise,

Paris, 1818, et de deux pages ^Avertissement signées de

M. Monmerqué. Ces lettres comprennent tous les suppléments

(moins deux, n°s 4g et 50) que M. Monmerqué avait fait paraître

depuis le volume des Mémoires de Coulanges, à savoir les n°» 53,

5g, 60, 61 de plus les trois lettres à Lenet, publiées d’abord par

MM. Vallet de Viriville et Paulin Paris, et enfin une lettre iné-

dite de Coulanges à Gaignïères. Quelques exemplaires ont

été tirés sur papier de couleur.

63. Extrait de quelques lettres de Mme la comtesse de Grignan, du chevalier de Grignan, du marquis de Sévigné et de M. de Bussy-Rabutin, évêque de Lucon, qui n’ont point été comprises dans les différentes éditions de Mme de Sévigné suivi d’un fragment inédit d’une lettre de Mme de Sévigné à Mme de Grignan. Troyes, Bouquot; et Paris, Delion, i854, in~8°; a4 pages, dont 4 d’un Avertissement daté de Troyes, le 15 juin i854, et signé de l’éditeur, M. Corrard de Breban. Ce petit recueil, tiré à cent exemplaires, comprend: 1" divers

fragments, etunelettre entière de Charles de SéVigné, quiavaient

été oubliés dans le Mercure, où Ils avaient paru (dans le premier

volume dé juillet ij63) sous le titre que leur a garde M. Cor-

rard de Brebau a0 un fragment inédit de Mme de Sévigné,

donne d’après l’original. Ces lettres et fragments, à l’exception

du dernier, venaient du chevalier de Perrin. On trouvera la