Page:Sévigné - Lettres, éd. Monmerqué, 1862, tome 12.djvu/112

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io6 TABLE ALPHABÉTIQUE ET ANALYTIQUE

454. Il perd une fille et un fils pendant qu’il est à l’armée, III, 463 et 463, 476. Allusion à la manière dont ses enfants avaient été soignés, III, 497’ Il fait le siège de Limbourg, III, 485. Il est avec son père d’un détachement de dix mille hommes, III, 5o5. Manière aimable dont le Roi vivait avec lui à l’armée, III, 52.5. Le Roi lui ordonne de courir en poste à l’armée, après la mort de Turenne, III, 538. Il vient à Paris pour un jour, etdoit aller rejoindre son père, IV, 28. Il précède son père à l’armée d’Allemagne, IV, 58. Bourdelot fait des vers à sa louange, IV, 262. Allusion à la cour qu’il fait à Mme de Coetquen, IV, 536; V, 8. -Il se montre fort aimable à l’égard de Mme de Sévigné, IV, 545. Mme de Sévigné se plaindra à lui des chemins de Bourgogne, V, i85. Compliment qu’il envoie à Mme de Grignan sa réponse sur les chemins de Bourgogne V, 197. Il soupe chez Gourville avec Mme de Sévigné, V, 214. Il va féliciter Mme de la Vallière et plusieurs membres de sa famille, à l’occasion du mariage du prince de Conti avec Mademoiselle de Blois,VI,i63 Ses toilettes pour ce mariage, VI, 200 -et 201. Baptême d’une de ses filles fête donnée à l’hôtel de Condé, VI, 254 et 255. Il parle avec beaucoup de tristesse de la mort de la Rochefoucauld, VI, 33i et 33a, II assiste à l’oraison funèbre de Mme de Longueville politesses qu’il fait auxpersonnes qui s’y trouvent,

Chagrin que lui cause la mort de la princesse de Conti, II, go. Il refuse de conduire le deuil aux obsèques du chancelier Seguier, II, 5,4 !• II donne, en carême, aux Anges une chasse, un souper et un médianoche, III, 10 et II, 26. Sollicitude de son père pour lui pendant la campagne de Hollande, III, 117, f i35. Mme de Sévigné le rencontre chez Mme de la Fayette, III, 196. IL s’ennuie à Utrecht; petit conte sur son sujet, III, 206 et 207. Mme de Sévigné lui écrit des folies, III, 211. Son retour de Flandre, III, 277, 282. Sa jalousie, III, 253. Il pense que le comte de Grignan ne pourraprendre Orange il s’informe de Mme de Grignan, et charge Mme de Sé- vigné de beaucoup d’amitiés pour elle, III, 288. Il pleure en racontant la douleur du maréchal de Gramont, qui a perdu son fils, le comte de Guiche, III, 3o2. Il dîne chez Gourville avec Mme de Sévigné, III, 3i5 et 3i6. Il doit partir pour l’armée avec son père, et Turenne, qui se trouve placé sous leurs or- dres; leur bonne intelligence, III, 338. Mme de Crussol lui emprunte ses rubis, III, 387. Bussy voudrait que Mme de Sévigné l’amenât à faire en sa faveur une dé- marche auprès du prince de Condé, son père, III, 446. Mme de Sévigné le croit peu favorable à Bussy, III, 454Raisons que Bussy a de croire le contraire, III, 455. Son départ pour Chantilly, et ensuite pour l’armée, III,