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i4o TABLE ALPHABÉTIQUE ET ANALYTIQUE

Emjbomke (Antoinette Lefèvre d’), sœur du précédent, épouse le Goux de la Berchère, III, 524. Mme de Sévigné regrette de ne l’avoir pas obtenue pour son fils, IV, 177.

Ecclésiaste (/’). Allusion au verset 12 du chapitre ni, IV, 188. Ecclésiastique (F). Allusion probable a plusieurs passages VIII, i3o et note 4.

Échecs (lé jeu d’). Mme de Sévigné trouve qu’il occupe trop et qu’il fait mal à sa fille, IX, 494.

Éclair (l’), chiffre non expliqué, III, 348.

Ecosse (l’). Sept régiments ont quitté le prince d’Orange pour y aller, VIII, 564. On dit qu’elle est tout entière contre ce.prince, IX, 6, 9.

Efpiat (Antoine Coiffier Ruzé, marquis d’), premier écuyer de Monsieur, neveu, comme fils d’un frère aîné, de CinqMars et de l’abbé d’Effiat, IV, io3. II donne, dit-on, la démission de sa charge à Monsieur, pour prouver son dévouement au chevalier de Lorraine, IV, 37. II ne rend pas sa charge, mais il accompagne le chevalier de Lorraine à Chilly, IV, 46 et 47. Sa femme est remise avec lui, VI, 124 et 125.

Efpiat (Marie-Anne Olivier de Leuville, marquise d’), femme du précédent, III, 288 et 289; VI, 171. Elle est "déclarée gouvernante des enfants de Monsieur; elle est remise avec son mari, VI, 124 et I2Ï. Mme de Sévigné la dit liée d’amitié avec le comte de Grignan, VI, 125. Mme de Sévigné va lui faire son compliment, et on s’étonne, dit-elle,

E

Eau d’arquebuse (f) achève la guérison de la jambe de Mme de Sévigné, VII, 372, 386. Eau de cerises (f). Duchesne en ordonne l’usage à Mme de Sévigné, VI, 34o.

Eau de lin (f). Bien qu’elle fait à Mme de Sévigné; elle a sauvé la vie à Colbert, VI, 266. Mme de Sévigné en fait toujours usage Achille de Harlay en boit beaucoup, VI, 35o.. Eau de poulet (f). Mme de Sévigné la vante, V, 168 et 169.

Eau de la reine de Hongrie (l’), ̃IV, 3a6, 338; VII, 28G; i VIII, 287; IX, 24, 540. Son efficacité, IV, 186. Mme de Sévigné en fait constamment usage, IV, rg3. Elle lui est contraire pendant son rhumatisme, IV, 356. Un médecin la conseille à Mme de Sévigné pour ses mains, mêlée à de la moelle de cerf, V, 47. Mme de Sévigné use de ce remède V, 99. Elle lui a fait, dit-elle, beaucoup de mal pour son rhumatisme, et pourtant elle en demande, parce que c’est la folie de bien des gens et d’ellemême, V, i3r. Cette eau ne vaut rien pour tes douleurs, et Mme de Grignan l’a employée à tort pour la goutte de son mari, VII, 21, 35.

Eau des capucines (f). Gudrisons de tout genre qu’elle opère, VI, 92. Voyez Essence.

Eacbokke (Gervais le Fèvre d’), conseiller au Parlement, gendre aePomereu. Il est second commissaire aux états de Bretagne comparez p. 169 et p. 268 du tome IX.